La pièce

​Des rêves qu’on tait ou qu’on ose, un corps qui saute et cherche l’apesanteur, des identités en quête de vérité. Entre poésie, rituel et introspection, quatre jeunes chorégraphes explorent nos rêves profonds, nos élans enfouis et nos masques à faire tomber. Trois univers qui se croisent et s’enrichissent. Un voyage sensible pour se retrouver.

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Ayú de la Cie Jäm : 

C’est quoi ton plus grand rêve à toi ? Les rêves qui se disent, Ceux qui font peur, Ceux qui n’existent plus, Ou qui attendent seulement. Les rêves qui changent avec le temps, Ceux qu’on s’interdit, Ceux qui sont fous, remplis de poésie, De subtilité et d’audace. C’est tout ça, on peut rêver et on a le droit.

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Neven de la Cie Aran : 

Neven prend sa source dans mon amour pour le saut... pour cette perpétuelle, éternelle recherche d’élévation, non pas vers le soleil comme Icare, mais vers le ciel. Et pour le challenge, cette performance ultime offerte à mon corps, qui se dilate dans l’air, sans mesure ni poids. Corps suspendu, Corps léger... Infatigable.

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ILMAN de la Cie Tsú : 
Qui sommes-nous réellement ? Sommes-nous libres d’être nous-mêmes ou sommes-nous assignés à une identité dictée par les injonctions extérieures, par notre histoire ou par les normes de la société ? Comment se libérer du masque que l’on porte et de ce que les autres attendent de nous ? ​