La pièce

Après le premier opus "Lueurs", "Et les lueurs se mirent à danser", raconte l’étrangeté, la lumière, la métamorphose et le très long voyage d’une femme à la recherche de quelques instants perdus.

 

Forêt est endormie…  Autrefois illuminée par l’Arbre Astre, il y reste aujourd’hui seulement quelques litanies des créatures aveugles et les brumes des arbres fumées... Faune, l’ancien a la connaissance des secrets de la forêt, de ce qui s’y cache et sait déjà que quelque chose est en train d’arriver, venu d’ailleurs : une femme, qui a longtemps étudié comment voyager dans les mondes autres, cherche quelque chose qui lui appartient. Cette présence impossible vient renverser l'atmosphère de Forêt.

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La compagnie Mac Guffin

Mac Guffin Kollectif existe depuis 2001. Nous avons construit nos aventures de scènes sur une croyance en l'esprit collectif et dans l'idée de défendre des contes modernes et des narrations humaines et philosophiques.

 

La démarche globale chorégraphique met en lumière les univers de non lieux narratif et imaginaires faisant appel à des univers esthétiques différents et raconte une ambivalence et une « tension » permanente.   La danse est ici profondément ancrée dans le mouvement, le travail de l’unisson et de l’énergie commune des danseurs. Un travail sur l’ambigüité et les extrêmes, rassemblant images contemplatives et des énergies spontanées et mettant en relief une lutte constante entre intérieur et extérieur.

C’est ce qui sert la narration, les instants de frottements, les limites, ces interstices dans les personnalités et les histoires qui leur donnent toute leur complexité et leur passion et nous plonge dans un climat d’étrangeté, mais aussi de réalité.