Le Sommeil des Machines
Par la Compagnie du Canard Bleu
Mercredi 14 décembre - 20h30
Jeudi 15 décembre - 20h30
Vendredi 16 décembre - 20h30
Samedi 17 décembre - 20h30
Durée : 1h20
A partir de 10 ans
Plein tarif : 14 euros
Tarif réduit : 9 euros
(étudiants et demandeurs d'emploi)
Uniquement sur présentation d'un justificatif
Avec Thibaut Barrenechea, William Palet, Clémentine Savoye, Iasser Szymakowski, Franck Yvrai
Voix Sophie Belvisi, Simon Benatar, Mellie Melzassard, William Pallet
Création sonore Clément Barou
Masques Orian Mariat
Production Oriane Guiton
Mise en scène Xavier Prevot et Sophie Belvisi
Texte Xavier Prevot
Minuit sous les tropiques. Sur la plage de l'hôtel Acapulco Marina, se croisent un astronaute, des bandits de grands chemins et un barman dépassé par les événements. Leur point commun ? Ce sont les égarés d'un monde qui tourne trop vite. Le premier est perdu à cent millions de miles de la terre et les autres sont perdus à eux-mêmes, ce qui s'avère tout aussi périlleux. Et lorsque toutes les machines semblent soudainement tomber en panne, les voici aussi dépouillés que les premiers hommes de l'Humanité.
Mais sous un masque, une voix murmure que c'est peut-être ça les vacances.
Une exposition photographique de masques, réalisés lors d'ateliers avec des enfants en MJC et en centre social dans le cadre de ce projet, accompagnera la pièce.
Nous sommes la compagnie du Canard bleu, jeune collectif lyonnais regroupé autour de l'envie de créer un espace de liberté où il soit possible de pratiquer le théâtre, de l'écriture au jeu en passant par la mise en scène. Cette pièce est le troisième projet de la compagnie après Le Lac de Sophie Belvisi et une adaptation de Huis-Clos de Jean-Paul Sartre.
Xavier Prevot, auteur et porteur du projet a toujours eu désir de raconter des histoires suscitant l'imagination tout en abordant des thèmes ancrés dans le réel.
Après s'être essayé à l'architecture, il décide se tourner vers le théâtre en intégrant le centre Factory où il suit une formation de comédien/créateur durant trois ans, il y coréalise D’un claquement de doigts, une pièce minimaliste revisitant l’histoire du génie de la lampe. Depuis la fin de son cursus, il joue dans divers pièces et courts-métrage et monte sa pièce Le Sommeil des machines.
